[Pv Dylan, Dos Santos & O'neil] Opération Blackout

Boooooooooooooooooooooooooooring !!! Que cette mission était chiante. A chaque interaction de la civile, Butcher ne pouvait que lever les yeux au ciel. Entre çà et Burrito Girl qui nous sort le clichet de la minorité ethnique engagé par simple quota : "he, querida" "hombre" .... est-ce qu'il ponctuait ses phrases par des "YI HA" ou qu'il passait son temps à macher du tabac à chiquer ? Au bout d'un moment il ne faut pas se plaindre d'être un clichet ambulant... un peu de respect pour soi quand même...

- On les neutralise en silence, Butcher prends les deux de gauche, avec Ortega on va s'occuper des trois à droite. En silence et prenez votre taser, Compris?!

Et voilà la décision de blanche neige. Ne pas tuer d'innocent ? Alors que c'était leur quotidien de le faire et qu'ils allaient faire bien pire. De plus, il avait reçu des ordres en hautes instances. Il faudrait que çà passe pour un accident...

Il s'avança doucement à la suite des deux gardes , un taser dans chaque mains prêt à agir. Les deux gardes se séparèrent , parfait. Il prit le petit couloir de droite où le premier garde avait tourné et le rattrapa. Des deux mains , il le tasa de chaque coté de la tête. Il l’emmena au sol et le laissa convulsé histoire d'alerter le deuxième garde.

- Charles ? C'est toi qui fais ce bruit là ?

A peine a-t-il passé l'angle du couloir que butcher se jeta dessus, un coup à la glotte lui suffit à ouvrir une brèche dans la défense du garde . L'instant d'après il se trouvé à l'étouffer avec son avant bras mais au moment où il perdait conscience, il donna un coup sec pour briser la nuque du malheureux. Il tchekka le deuxième , pas de pouds . Il prit les badges des deux victimes , une sorte de tradition, regarda les noms : "Charles Arinsson" et "Auguste J. Sowell" et il regola. Quels noms de merde !

C'est bon ! Ils sont au pays des rêves, allez faut qu'on speed.

John c'était approcher comme une ombre des 2 gardes. Ils parlaient de leurs familles respective et de problème en tout genre de la vie. John n'en avait rien a faire, il visa le 1er garde au niveau de la nuque et appuya sur la gâchette. 2 files partirent de son arme pour se loger dans leur cible; Le garde c'était retrouvé a terre et assommé, l'autre n'avait pas eu le temps de réagir qu'il se pris un coup au ventre qui lui coupa la respiration, puis il sentie une forte décharge dans son cou. (Voila 2 en moins).

"Situation?" demanda t'il par radio.

"Colonel je suis près, j’attends vos ordre!" Matthew était en position, près a couper le courant.

"Unités suiviez moi! Matt go!"

A son ordre Matthew avait coupé le courant, plus aucune lumière. Leur objectif était de sécuriser le lieu dans 1 premier temps. Selon les relevé satellite et l'aide de Eagle 1 il ne restait que 4 gardes. " Orthega, Butcher allez vous occuper des autres garde en silence et retrouvez moi avec le colis dans le Bâtiment E. Je vous donne 5 min soldat!"

Orthega et Butcher:

Pour le moment le déroulement de la mission était parfait, il n'y ava...  "John on a un problème! La civil elle vient de me dire quelque chose John! Il faut que tu l'écoutes absolument."

"Putain Matthew j'ai pas le temps pour cela!"

"John je ne déconne pas!"

"Emmène la au bâtiment E comme prévu j'écouterais ce qu'elle a à dire là bas!"

« Matt c'est quoi ce bordel ? »

« Mon Colonel c'est grave ! Écouter Anne... elle a des infos qui sont..comment dire...sensible » Matthew était blanc, livide, le regarde dans le vague, choqué de ce qu'il venait d'apprendre. Arthur déglutie et chercha Anne du regard. Elle était proscrite dans un coin de la salle, les yeux rouge et le regard fixant quelque chose que Arthur ne pouvait pas voir. En s'approchant, il remarqua qu'Anne tremblait et chuchotait quelque chose d’inaudible, il avait aussi vu l'objet qu'Anne fixait presque comme une démente : Un sac à dos, son sac. Une fois arrivé à coté d'elle, Arthur perçut ce qu'elle chuchotait : « Je peux pas ! Je peux pas tuer des million de personne ! Non, mon travaille ! »
Elle n'avait pas remarqué la présence d'Arthur, il lui toucha l'épaule, elle sursauta en poussant un petit cri.

« Calmez vous ! » lui demanda Arthur.

« Vous m'avez fait peur ! Colonel je ne peux pas faire cela ! On m'a dit de ne pas en parler mais mon âme sera damné si j'installe mon dispositif ! Je vais tuer des millions de gens ! »

Le Cœur d'Arthur s'emballa a cette dernière phrase, il avait retenu « million de vie » et « ne pas faire cela ! » L’appréhension qu'il avait eu avant le début de la mission était revenu le hanter, cette mission puait la merde et qu'il allait faire quelque chose de vraiment horrible. Il avait besoin d'information pour comprendre ce qu'il clochait. Le problème c'est que Anne était complètement paniqué, en état de choc. Arthur lui donna une légère gifle « Stop ! Maintenant concentrer vous sur moi et ma respiration »

Après quelque effort de sa part elle s'était arrêter de trembler et sa respiration commença à se calé sur celle d'Arthur. Il expira et inspira avec elle pendant quelque minute le temps qu'elle retrouve ses esprits. Quand il eu toute son attention il lui demanda :

« Bon maintenant vous allez m'expliquer tout ce que vous savez et pourquoi vous êtes dans un état pareil. Vous allez le faire calmement comme moi actuellement . C'est compris ? » Arthur savait comment calmer une personne ne état de choc. Cela arrive souvent aux soldats en 1er ligne lors d'un combat rapprocher. Un ancien Médecin qui a servie sous ses ordres lui avait appris cette méthode pour obtenir des informations rapidement sur la situation. La technique avait parfaitement fonctionné elle était redevenu normal et regardait le Colonel droit dans les yeux et commença son explication.

« Colonel cette mission n'est pas ce que vous croyez ! Vous n’êtes pas la pour poser un dispositif de surveillance mais plutôt ici pour tuer une grande partie de la population de la Californie. » Arthur essaya de rester impassible devant elle mais les battements de son cœur se faisaient de plus en plus rapide. « Connaissez vous les bombes XT  Colonel ? Je sais que vous avez déjà vu l'effet de telle bombe en Corée du Nord. »

« C'était monstrueux ! » Arthur déglutie ! Les Bombes XT, avaient fait 5000 victimes civil en quelque minute. Un village entier avait disparue sans aucune explosion car les XT n'était pas vraiment des bombes explosive mais un Gaz mortel. Quand ils étaient arrivé sur place le village était mort... aucune âme, juste un silence de mort et des cadavres à perte de vue. Rien n'avait survécu : femme, enfants, bêtes,... Tous étaient mort. Arthur n'avait jamais oublié ce jour ! L'armé avait juste fait passé cela sous silence et une « erreur » avait été avancer comme explication. Les soldats savaient tous que ce n'était pas une erreur à l'époque mais une expérience.

« Colonel dans le sac en face de moi ce trouve 1 des 3 bombes XT 22, c'est l'évolution la plus mortel que mon équipe et moi avons développé. Le pouvoir de cette substance dépasse tout ce que vous pouvez imaginer, ce serait un désastre écologique sans pareil. Les ¾ de la vie en Californie disparaîtrons si les 3 bombes explose dans les bassins. Nous somme dans le plus grand centre de distribution d'eau potable de cet État. On estime les victimes humaine à 33 millions en 2 jours. Jamais je n'aurais du inventer un truc pareil ! Il libère un protéine qui inhibe la libération de acétylcholine, le neurotransmetteur présent à la jonction entre les nerfs moteurs et les muscles strié squelettique qui assure la motricité du corps. Le poison provoque une paralysie partiel en 10 seconde et total 50 sec après. Vous mourrez d’asphyxie au bout de 3 min. Mais l'horreur de ce poison ne s’arrête pas qu'aux effets... Il ne s'évapore pas il devient liquide 10 minute après sa diffusion, se mélange très bien à l'eau et s'accroche a tout sorte de molécule. Il résiste très bien au forte ou basse température. Son
 effet s'estompe au bout de 1 semaine.  L'inhaler ou le toucher c'est pareil, vous êtes mort ! C'est la plus grande saloperie que les États Unis on sous la main et ils veulent l'utiliser ici ! »

Plus l'explication avançais plus Arthur se sentait mal, dans quel merdier c'était t'il fourré...

"Et le gouvernement est d'accord avec cela ?"

"Les États Unies non ! Mais des gens haut placer dans le gouvernement politique et militaire ne veulent pas voir la Californie devenir libre ! Si jamais ils font sécession, d'autre état pourraient avoir la même idée... Ce serait la fin des États Unies d'Amérique ! On m'a donné des subventions et beaucoup d'argent pour finir mes travaux le plus vite possible. Il y a un mois des hommes sont venu me parler de leur plan, j'étais horrifier et j'ai refusé tout de suite, mais votre « ami » Butcher à tué 2 de mes collègues devant moi et a promis de recommencer avec mes enfants si je n’obéissais pas !"

Arthur resta silencieux, les information s'entre choquaient dans sa tête... bombe, poison, mort, 35 millions de mort,... C'était trop pour Arthur il s'appuya sur un mur pour régurgiter son repas du soir... que faire... Il était perdu ! La mission ou les citoyens Américain... Jamais une décision avait été aussi dur... Butcher et Ortega que faire avec eux ?

« Arthur, je te fait confiance quoi que tu fasses je te suis, semper fidelis mon ami ! » Matt lui avait tendu son bras pour l'aider a se relevé.


« Je peux pas laisser faire cela Matt ! 35 millions de mort ! J'ai promis de servir les États Unies et les États Unies c'est le peuple, les citoyens américains... Comment des mecs ont pu imaginer faire cela à leur propre citoyen... Je ne peux pas l'imaginer ! Matt je vais m'oppose à Butcher et Ortega... je vais les attendre ici et leur tendre un piège. Toi emmène Anne loin d'ici, essaye de retrouver Murdock je suis sûr qu'il va nous aider. »

« Arthur je ne peux pas partir pour le moment ! Dans mon sac il n'y a qu'une des trois bombes ! Travis en a une et Butcher à l'autre. Si une seule bombe explose, c'est la fin de Los Angeles ! »

« Et merde... Matt occupe toi de Travis. Prend Anna avec toi et quand vous avez récupéré la bombe, on se retrouve devant la porte principale. Si je ne suis pas de retour dans 15 min, retrouvé Murdock et expliquer lui la situation je suis sûr qu'il va comprendre. Écoute à partir de maintenant nous sommes des traîtres ! Tu es sûr de vouloir me suivre ? »

Comme je l'ai dit Colonel « semper fidelis ! »

Arthur ne parvenait pas a se sortir cette révélation de son esprit, son cerveau commençait déjà a créer mille et une connexion de neurones afin de déterminer quelle était la marche a suivre. Son esprit était si ardemment occupé qu'il n'entendait à peine le tintement métallique de ses chaussures sur la passerelle d'acier menant de l'endroit ou Matthew menait sa mission jusqu'au centre de traitement de l'eau où l'attendait sa propre équipe. Heureusement pour lui il lui restait quelques minutes de trajet pour réfléchir a tout ceci.

Pour lui cette histoire était complètement folle, comment pouvait on utiliser une bombe sale dans son propre pays... Toute cette histoire était invraisemblable. Mais au fond de lui il savait que quelque chose clochait. Comme il l'avait pensé plus tôt cette équipe n'était pas normal, plusieurs points de mission étaient flou... Dès le début il avait eu des doutes : pourquoi installer un système de surveillance dans un lieu pareil. Il n'y avait rien autour, Los Angeles était à plusieurs kilomètres, aucune ville de plus de 20 000 hab dans les 50 km, rien. De plus cette usine de traitement des eaux était la principale de Californie. Le lieux parfais pour...
Un des corps que son équipe avait mis hors d'état de nuire l'avait sortie de ses pensées. Arthur s'approcha puis le retourna... Il était mort la gorge tranché d'un coup de lame rapide et chirurgicale. Ce n'était pas un accident et pas une action de légitime défense, l'arme du garde n'était pas sortie et le visage figé du garde affichait un aire de surprise et de terreur à la fois. Une seule personne pouvais faire cela : Butcher.

En avançant il remarqua d'autre corps, nuque brisé c'était la marque d'Ortega. Un autre corps à la gorge tranché, plus loin un homme avait même été taser à mort... Une légère odeur nauséabonde de corps grillé flottait dans l'aire.

Arthur c'était arrêter quelque instant pour reprendre ses esprits réfléchir à un plan d'action, peu être que les 2 agents étaient des traître, ils avaient décider cela de leurs propre chef... Non impossible, l'opération entier était faite pour cela. L'équipe, les scientifiques, Ortega et Butcher étaient la pour le bon dérouler de la mission. Mais pourquoi moi ? Un test ?

John était perdu, que faire maintenant... continuer la mission... à cette idée son cœur c'était emballé et il vomi.

« Non impossible John tu n'es pas un tuer de masse... 20 million peu être 30 et de la pire des façon possible... Non Arthur tu ne peux pas... »

Il se remit a vomir une 2nd fois. Arthur se laissa tomber par terre, il devait trouver une issus, une solution... Mais l'idée que son propre pays a monté une opération pour tuer 30 million de personne avec une bombe sale était trop pour lui. Dans ses mains il avait le sort de toutes ses personnes... et puis merde la Californie, Hollywood, la plage, la vie à américaine par excellence, " american dream ". John était plutôt en plein "American Nightmare". Quel autre choix lui restait t'il : la trahison ! Non impossible l'armée c'est toute sa vie, son pays aussi. Son souffle était de plus en plus rapide. Il devait trouvé quelque chose pour le calmé , ce n'était pas le moment de faire une crise d'hyperventilation ou pire un malaise. Il ne se sentait pas bien. Sa vision devenait flou, il entendit une voix « Arthur ! Arthur ! Vient ici mon garçon. » c'était la sa mère. « Bon on est bientôt arrive ! » dit elle avec un grand sourire.

« Je vais te présenter mon chez moi, tu vas voir c'est très joli. La plage, les palmiers, le cinéma et les gens sont super ici tu vas adoré passer quelque semaine en vacance ici. »

Arthur sursauta (merde ça fait combien de temps que je suis sur le sol?) il regarda sa montre... 30 seconde à peine, son cœur battait assez rapidement mais son rythme diminuait. Il ne se rappelait plus de ce qu'il avait vu : de ce souvenir. Mais les choses lui revenait petit à petit. Il avait passé 3 semaines à Los Angeles pour ses 9 ans juste avant la mort de sa mère. Quelque chose d'agréable était sortie de ce rêve : Oui la Californie c'est aussi sa mère... Elle était née la bas, Arthur avait déjà visiter Los Angeles, les beaux quartier, sa famille maternelle... Après quelque seconde John c'était calmer. « Non je ne suis pas un meurtrier ! » dit t'il d'une voix résolu. Il se leva inspecta rapidement son équipement et se dirigea vers le lieux de rendez vous. Il allait parler à Ortega et Butcher mais en fonction de leur réponse John savait quoi faire. Il désengagement la sécurité sur sa M4-A2.

Sur le reste du chemin qui lui restait a parcourir pour atteindre le lieu de rendez vous Arthur pensait à ce qu'il l'attendait après cette mission... La cours martial... impossible un telle mission ne peu pas ce faire juger publiquement. Non, c'est une balle qui l'attendait ! Le sort qui est réserve aux traîtres dans ce genre "d'opération". La seule solution pour Arthur et Matthew était de déserte et de fuir en Californie. Recommencer une nouvelle vie... En civil... Cette idée avait provoqué un sentiment de peur, d’inconnue. John ne savait rien faire d'autre que soldat. Donné lui un objectif et une arme, il va tout faire pour accomplir sa mission. Mais lui en civil... Arthur chassa rapidement cette idée de la tête, ce n'était pas le moment de penser à faire des plans. Il devait avant tout parler à Ortega et Butch.
Arthur accéléra le pas pour se retrouver devant le batiment ou Ortega et Butch devaient l'attendre. En se rapprochant de la porte. Il prit une grande inspiration.

« GO ! »

En ouvrant la porte les deux militaire attendaient Arthur au milieu de la salle en riant. Il n'était pas du tout en état d'alerte alors que des gardes devait encore patrouiller. Non il ne devait plus y avoir de garde... Ils ont fait un massacre.

John s'avança vers eux, l'arme baisser mais les mains posé sur l'arme.

« Rien a signalé ? Ils sont bien tous morts ? » Arthur lança cette phrase, cette accusation avec un ton grave. « Maintenant vous allez me montrer vos mains bien en évidence et au moindre faux mouvement je vous colle une balle ! Ne jouer pas au con avec moi car vous savez très bien de quoi je suis capable. Et vous allez m'expliquer tout ce bordel. »

Le premier reflex de Fitelli en voyant arriver leur chef avait été de porter sa main à son arme. Le regard que leur lancé ce dernier n'était en rien amical et ses longues années d'expériences lui avait appris que cela n'envisageait rien de bon mais il avait été bien trop rapide pour que Butcher puisse faire quoique ce soit.

« Maintenant vous allez me montrer vos mains bien en évidence et au moindre faux mouvement je vous colle une balle ! Ne jouer pas au con avec moi car vous savez très bien de quoi je suis capable. Et vous allez m'expliquer tout ce bordel. »

Butcher perdit rapidement le sourire et son visage redevient sérieux pendant qu'il levait les mains.

Ne fait pas l'idiot Riggs, t'es le chef de groupe ne t'emporte pas .

le ton du soldat était calme

Tu as ta mission et nous avons aussi la notre. Si tu as un soucis avec çà c'est envers l'Etat Major qu'il faut gueuler pas contre nous. Toi et moi sommes des chiens de guerre, on nous ordonne, on obéis . Point barre ... ALLEZ BAISSE CE FLINGUE FAIT PAS LE CON !

Pendant qu'il parlait Butcher avait observer tout l'environnement qui les entouraient afin de trouver une porte de sortie. Il y avait bien un ou deux endroits où il pouvait tenter de se rendre d'une roulade sauter afin de se mettre à couvert mais la disposition de l'infrastructure des lieux ne jouait pas en son avantage s'il devait y avoir confrontation. Dans le pire des cas il faudrait pouvoir engager un combat au corps à corps pour gagner contre le jeunot. Il y avait deux couloirs pas loin qui passait au dessus de l'eau , une petite projection le débarrasserait de ce blanc bec et on ne trouverais pas le corps avant plusieurs kilomètres. De toute façon, sa mission était claire il y passerait quand même alors maintenant ou plus tard, qu'importe , Riggs allait mourir ce soir !