[PV Dos Santos & Collins] Falling Stars

Ambiance

Dos Santos et Collins n’avaient pas vraiment tardé à se rendre au COPS, après l’arrestation de leur collègue et ami. C’est Miguel qui prit le volant avec sa Shelby GT500, Collins étant beaucoup trop furax pour conduire : ils auraient fini avec un mec sur le capot ou dans un accident, elle manquait de sang-froid, à ce moment précis. Miguel n’était pas particulièrement plus calme, mais allez savoir pourquoi, il semblait chercher à tempérer Collins, en étouffant sa propre rage. Très avenant de sa part.
Ils ne tardèrent pas à rejoindre les bureaux mais se virent rapidement bloqués, impossible d’accéder à Central. En gros, impossible d’approcher O’Neil avant qu’il ne soit jugé. Collins était tout simplement hors d’elle, quand on lui refusa l’accès, elle s’emporta :

Bordel, on est vos collègues, pas des putains d’terroristes ! Laissez-nous passer !

Mais sa requête fut refusée. Big Nick lui adressa un rictus désolé, et posant sa main sur son épaule, lui affirma qu’il ne pouvait pas faire autrement. Dylan n’avait rien contre lui, elle l’aimait bien, et c’était une bonne relation de son oncle, mais se faire recaler à l’entrée comme si elle était une simple civile la mit en colère. Big Nick n’était pas seul en bas, et il avait reçu des ordres stricts concernant Dos Santos et Collins.

Nick, j’t’en pris… Laisse-moi au moins parler avec mon oncle…

Nick s’excusa du bout des lèvres, un gros dur au cœur tendre ou du moins, avec Collins, parce que c’était un peu une mascotte, au COPS, la p’tite nièce de Pitbull. Mais non, elle ne pouvait pas monter. Il lui assura que dès qu’il verrait Doug, il lui dirait d’appeler sa nièce.

Ca ne servait à rien d’insister, Nick était aussi droit que la justice, et elle avait de la chance d’être elle-même sinon il y avait bien belle lurette qu’il aurait perdu patience et lui aurait collé un pain dans la tronche… Collins se prit la tête entre les mains, et sortit un paquet de clopes de la poche arrière de son short en jeans. Les doigts tremblants nerveusement, elle sortit rageusement une cigarette qu’elle coinça entre ses lèvres puis chercha un briquet dans sa poche en grognant :

Et maintenant on fait quoi, bordel ?... Il est où c’putain de… Miguel, t’as du feu ?

Elle avait repris la cigarette depuis l’incident avec Gabriel. Une mauvaise habitude qu’elle avait pourtant abandonné à l’entrée à l’académie COPS, histoire de retrouver son souffle, pour le sport. Et voilà qu’elle avait repris comme un pompier.

L’invitation de Dos Santos à aller prendre l’air était la bienvenue. Dylan tira sur sa cigarette en acquiesçant. Elle fumait dans le hall, eh bah qu’on lui colle un procès. On lui jeta bien un regard courroucé, mais dès qu’elle croisa le regard des auteurs, ils retournèrent vite à leur occupation sans se faire remarquer. Miguel avait lui-même allumé un cigarillo. Ils allèrent jusqu’à la voiture et Miguel s’installa au volant. Dylan préféra terminer sa cigarette à l’extérieur avant de grimper dans les voitures. Elle détestait les bagnoles qui sentaient le tabac froid. Elle respectait trop les voitures pour ça… Finalement, elle fuma sa cigarette plutôt rapidement et jeta le mégot parterre avant de l’écraser avec le bout de sa Ranger.

Tu vas voir, ça va s’arranger, il n’a pas pu faire quelque chose de si grave quand même…. c’est RED bordel ! Il ne t’a jamais rien dit, tu n’as jamais vu quelque chose ?

Dylan avait le regard dans le vague, l’air visiblement soucieux. Elle semblait chercher dans ses pensées, mais à voir ses sourcils froncés, elle ne semblait rien trouver. Elle finit par hocher négativement de la tête, battant furieusement la mesure avec son pied :

Non, enfin… Je crois pas non… C’est John quoi ! Je sais que parfois il est un peu limite Texas Ranger, mais jamais dans un mauvais but… !

La rouquine se mit à jouer nerveusement avec ses doigts. D’une voix plus douce, presque anxieuse, elle murmura :

Ça doit être vraiment grave pour qu’ils nous tiennent à l’écart comme ça… Tu crois qu’il aurait pu… nous mentir ?

Elle se mordit la lèvre inférieure, s’en voulant déjà de trahir son ami en doutant de lui. Et si c’était vraiment le cas ? O’Neil l’avait averti qu’elle apprendrait des choses sur lui, et que ce qu’il avait fait, c’était pour LA. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire ? Dylan ne se souciait pas vraiment de la destination, elle était trop perdue dans ses pensées.

Ça doit être vraiment grave pour qu’ils nous tiennent à l’écart comme ça… Tu crois qu’il aurait pu… nous mentir ?


Le doute était bel et bien là, on était jamais sur de ce que l'on savait sur les autres. Il s'appuie sur son siège et passa la main sur son visage avec lassitude.

Tu sais Dylan, on a beau croire que l'on connait parfaitement quelqu'un, nous sommes jamais sûr de rien... crois moi j'en connais un morceau ... je ... je suis quand même sur que O'Neil est quelqu'un de bien.


Quel situation de fou !

Alors que vous discutez entre vous ,

Dylan : tu reçois un SMS de ton oncle



Comme à leur habitude des allés retour de flics et de COPS se font à l'entrée de Central et des appels d'intervention sont relayé par les anges.

Miguel : tu reçois un SMS de Rodriguez

Tu sais Dylan, on a beau croire que l'on connait parfaitement quelqu'un, nous sommes jamais sûr de rien... crois moi j'en connais un morceau ... je ... je suis quand même sur que O'Neil est quelqu'un de bien.

C'était marrant, quelques heures plus tôt, c'était exactement ce qu'elle disait à O'Neil, en parlant de Miguel et de ses talents cachés pour la danse. On ne connaît jamais vraiment ses collègues... Cependant,
Le smartphone se met à vibrer, et Collins s'attend à un message d'une autre personne. Elle le consulte machinalement, mais non, il ne s'agit pas de Messiah. Néanmoins, Dylan se dit qu'elle demandera peut-être à ce dernier d'enquêter sur son partenaire. Peut-être qu'il arrivera à trouver des choses. Dylan frissonna : elle ne savait pas ce qu'elle préférait : qu'il trouve quelque chose ou non... Elle consulta le message qu'elle venait de recevoir : il était de son oncle Douglas. Big Nick avait du faire passer son message. Cependant, le contenu du sms la contraria d'autant plus. Elle en fit part à Miguel :

Doug vient de me dire qu'on n'avait pas le droit d'accéder au Central aujourd'hui, et qu'on ferait mieux de ne pas traîner dans les parages... Visiblement le COPS est en ébullition... Putain mais qu'est-ce qu'il se passe...

Collins hésita un instant. Est-ce qu'elle écrivait à Messiah ? De toutes façons, ce dernier avait la mauvaise manie de l'espionner et de la surveiller... Si elle ne disait rien, il le saurait de lui-même tôt ou tard... Quand elle avait fini hospitalisée, suite à cette sombre affaire de Clown morbido-chevaleresque, parce qu'elle avait faillit passer l'arme à gauche, elle avait reçu un bouquet de fleurs dans sa chambre d'hôpital. Pas d'adresse, pas de nom, juste un petit mot lui souhaitant bon rétablissement signé d'un M. Quand elle se faisait suivre par la cellule psy' par la suite, parce qu'elle était persuadé d'être responsable de la mort de deux innocents, elle avait reçu des documents, par mail, démontrant que les parents de la petite victime n'étaient pas tout blancs, au contraire. Ca n'avait pas suffit : elle avait enlevé deux vies, tout ça à cause d'une faute d'inattention qui aurait pu lui coûter la vie... C'était un peu son ange gardien, en somme... Elle tapa rapidement un sms :


Miguel ? Tu devrais peut-être retourner auprès de ta famille et de tes amis... Enfin, c'est ton anniversaire, et on les a un peu laissé en plan... Ta pauvre Mama doit être un peu... Secouée. Je dois récupérer ma bagnole, de toutes façons. Je peux attendre toute seule, tu sais...

Miguel jeta un coup d'oeil à son portable , Rodrig. venait de lui envoyer un SMS. Bien évidemment sa famille avait continuer la fiesta et il appréciait cela. Après tout ce n'était pas la première fois qu'une descente de flic se faisait en plein milieu d'un anniversaire d'un membre de la famille. Un cadeau du clan ? Miguel sentit un léger frisson, avec ces mecs là on ne savait pas réellement à quoi s'attendre, çà pouvait être tout et n'importe quoi...

Doug vient de me dire qu'on n'avait pas le droit d'accéder au Central aujourd'hui, et qu'on ferait mieux de ne pas traîner dans les parages... Visiblement le COPS est en ébullition... Putain mais qu'est-ce qu'il se passe...

ho putain, ho putain de merde, ho putain de merde d'enculé de sa race !! çà pue à plein nez cette histoire. Miguel se disait qu'ils devraient peut être écouter Pitbull et mettre un peu de distance entre eux et Central.

Il a raison , on va bouger un peu.

Il prit son portable pour envoyer un SMS et se stoppa sur l'écran , il n'y avait rien de particulier mais cette histoire le préoccupait plus que de raison. Quel secret se cachait derrière tout çà ?

Miguel ? Tu devrais peut-être retourner auprès de ta famille et de tes amis... Enfin, c'est ton anniversaire, et on les a un peu laissé en plan... Ta pauvre Mama doit être un peu... Secouée. Je dois récupérer ma bagnole, de toutes façons. Je peux attendre toute seule, tu sais...

Miguel lui jeta un regard entendu.

Collins ... tu crois vraiment que je vais te lâcher toute seule comme çà ? On retourne chez ma mère pour récupérer ta voiture mais si tu veux pas rester on prend de la bouffe , une bière ou deux et on va se poser au calme. T'inquiète pas pour ma famille même si je rentre à 2h du matin , ils seront toujours en train de faire la fête , ce soir c'est la commémoration ... ils vont fêter çà jusqu'à rouler sous la table ...

Il soupira, la commémoration ... il préférait ne pas être en famille ce soir pour çà. Il démarra un peu trop rapidement.

Alors que vous roulez pour revenir à votre point de départ , Dylan tu reçois un SMS de Messiah


Quand vous serez de retour à la fête à peine Dylan s'approche de sa voiture que vous entendez des coups de feu dans le quartier.

Collins ... tu crois vraiment que je vais te lâcher toute seule comme ça ? On retourne chez ma mère pour récupérer ta voiture mais si tu veux pas rester on prend de la bouffe, une bière ou deux et on va se poser au calme. T'inquiètes pas pour ma famille même si je rentre à 2h du matin, ils seront toujours en train de faire la fête, ce soir c'est la commémoration ... ils vont fêter ça jusqu'à rouler sous la table ...

Dylan esquissa un sourire : c'était une douce attention de sa part de se montrer si prévenant. Elle acquiesça en silence. De toutes façons, comment pourrait-elle le raisonner et le faire changer d'avis ?

Quelle commémoration ? demanda simplement Collins, en consultant le SMS qu'elle venait de recevoir pendant que Miguel conduisait jusqu'à chez sa mère.

Messiah venait de lui répondre - il ne mettait jamais beaucoup de temps pour lui répondre - et sa réponse n'était pas très rassurante. Secret défense. Dylan sentit ses intestins se tordre. Mauvais pressentiment. Il lui demandait de rester en dehors de ça en attendant qu'il en sache plus. Son post-scriptum cependant lui tira un léger sourire : cela faisait bien deux mois qu'ils échangeaient tous les deux. Messiah savait beaucoup de choses de Dylan, mais au contraire, cette dernière ne savait pas grand chose de lui. Elle s'était pourtant surprise à développer un attachement particulier pour lui. Messiah était quelqu'un de très prudent. Elle avait bien essayé de lui proposer de se rencontrer en vrai, lors de son enquête sur Gabriel, mais jamais il n'avait accepté, ou du moins il trouvait toujours un moyen de refuser poliment. Elle se jura de lui faire cracher au moins son prénom, un jour...


Miguel se gare et Dylan s'approche de sa voiture pour y grimper. Mais des coups de feu retentissent. Un échange de regards avec Miguel, et la petite rouquine ouvre son coffre et récupère son Bat-Sac avant de foncer dans la voiture avec Miguel.

Fonce, j'me change à l'arrière. s'exclama-t-elle en grimpant à l'arrière. La voiture démarra en trombe, tandis qu'elle retira sa chemise sous laquelle elle portait un débardeur/ brassière. Elle enfila le haut de son uniforme puis, chose plus ardue, elle retira son short et ses rangers afin d'enfiler son treillis. Chose très difficile quand Miguel prenait des virages. Elle croisa son regard dans le rétroviseur et fronça les sourcils : Nan mais t'es sérieux là ? Les yeux sur la route, Dos Santos, ou j'te les crève !

quelle commémoration ?

Ha ça, Miguel ne voulait pas aborder le sujet, surtout pas alors qu'il était en train de conduire. même s'il avait réussi à mettre de la distance avec ça, il ne pouvait s'empêcher d'être affecté. En effet, le jour de l'anniversaire de Miguel coïncidait exactement avec le jour où son père s'était fait tué dans sa boutique d'informatique. Depuis l'heure, sa famille avait insisté pour qu'il continue à fêter son anniversaire mais devant le côté récalcitrants du jeune garçon, ils étaient tous tombés d'accord sur le fait de fêter comme il se doit l'anniversaire de Miguel comme si de rien n'était et arrivé le soir, ils fêtaient tous ensemble la memoire de feu son père.

Miguel ne releva pas la question de sa collègue et préféra continuer sa route. Il redoutait néanmoins que la jeune femme ne réitère sa question un fois arrivé. Par chance, ou par malchance, ils ne purent continuer à parler puisque des bruits de tir se firent entendre non loin de là. Il ne fallu à Collins et Miguel qu'un regard échangé pour savoir que faire.

Dylan ouvri son coffre de voiture qu'elle venait de regagner et dans un éclair elle avait sortir son sac avec son équipement du COPS. Miguel, quand à lui avait glissé sur le capot de la voiture pour se retrouver côté conducteur. Ni une, ni deux, il se retrouva au volant, moteur allumé et sa charmante collègue en train de se changer à l'arrière.

Bien qu'il fut concentré sur la route il dû lutter contre une force invisible pour ne pas regarder dans son rétroviseurs intérieur. Il regarda la route et son regard se devia un peu, Non il fallait se concentrer. Il tourna à gauche suivant les coup de feu, son regard se posa une seconde sur Collins qui enlevait sa chemise. NON IL FAUT ETRE CONCENTRÉ. Il prit la radio qu'il avait toujours avec lui et qu'il avait récupéré en allant à central avec Collins.

Inspecteur Dos Santos et Collins, nous sommes à l'angle de la 3 et 5e Pablo Escobar, nous avons entendu prêt de 7 coups de feu en direction de Tijuana avenue. Demandons renfort au cas où

ANGE: ici les anges, bien reçu une unité se trouve pas loin de vous je l'alerte

En reposant la radio Miguel plongea son regard dans le rétro intérieur et observa Collins enlever son short et mètre son treillis. ses yeux épousa les courbe de ses jambes, de sa hanche. Il n'y avait aucune perversité dans son regard, juste de la contemplation.

: Nan mais t'es sérieux là ? Les yeux sur la route, Dos Santos, ou j'te les crève !

Il détourna les yeux et se concentra sur sa conduite.

*Bordel Miguel* se dit-il *va vraiment falloir que tu tire un coup *

Le mexicano essayait de se rappeler la dernière fois qu'il s'était envoyé en l'air avec une femme, il ne s'en souvenait plus et cela ça ne se voulait pas rassurant. Sa vie se résumait à deux choses, son boulot et sa famille, et comme il n'arrêtait pas de switcher entre les deux sans s'arrêter, ça ne lui laisser que peut de temps pour les amourettes. Et même s'il en avait une, il était cantonné à l'hôtel ou chez les demoiselle puisque sa voiture était son appartement. Il dormait dedans pour pouvoir laisser sa chambre à sa plus grande des petites soeurs. Il economisait ainsi un loyer tout les mois et des frais de charges pour mettre de côté de l'argent pour l'éducation de ses frères et soeurs. Bien que sa mère arrivé à se faire de l'argent en travaillant chez elle ou en faisant de petit boulot en plus, cela ne suffirait jamais.. Surtout que Maria voulait faire avocate en droit économique. Mais bon...


Un autre coup de feu se fit entendre.

COLLINS, accroche toi !

Il deballat dans la rue et quatre gars tiraient sur un comptoir de prêt sur gage. Miguel fonca à toute allure dans la rue et passa au ras d'un des hommes sur le bord de la route en ouvrant sa portière au même moment. Le criminel qui venait de se prendre une portière lancé à 90km/h fit un vol plané sans un bruit de tôle et dos explosé et ne bougea plus. Dans le moment qui suivi Miguel prit le frein à main et fit dérapé la voiture pour la mette en tracer de la route.

Il sorti de la voiture et à demi couvert par celle ci pointa son flingue sur les trois gars et cria

COPS ! baissez vos armes

Mais apparemment ils n'avaient pas compris

COLLINS, accroche toi !

Certes, mais à quoi ? Elle venait justement d'enfiler son treillis, juste à temps pour attacher la ceinture de sécurité. Miguel arriva à toute vitesse dans la rue d'où provenaient les coups de feu. Il fonça sur l'un des tireurs, lui faisant faire un vol plané, le tout sans sommation. Fallait dire que ni Collins ni Dos Santos n'étaient d'humeur 'bon flic', après l'épisode qu'ils venaient de vivre tous les deux. Manque de bol pour les malfrats, ils allaient prendre à la place de la hiérarchie...

COPS ! Baissez vos armes !

Quand la voiture s'arrêta enfin après un dérapage au frein à main, Collins, masque de COPS sur le visage, surgit du véhicule comme un diable de sa boîte. Dans un mouvement presque animal, elle fonce sur le malfrat le plus proche, façon football US et le plaque violemment au sol, à couvert derrière une voiture, ce qui le désarme et le surprend. D'un geste rapide, Collins, à califourchon sur sa cible, dégaine son flingue, retire la sécurité et pointe le canon sur sa cible.

Vu comme c'est parti, j'vois que deux solutions mon p'tit père. Elle presse son canon contre le front de sa cible et rajoute : Soit tu dis à tes p'tits copains de se détendre immédiatement la rondelle et ta p'tite gueule reste intacte. Soit tu t'la joues cowboy, tu m'chauffes un peu trop et j'te fais un joli piercing de ta tempe droite à la gauche. Elle susurre alors d'un ton venimeux, doucereux et dangereux à la fois : Et crois-moi, mon bichon, t'as pas envie d'me chercher des crosses aujourd'hui.

Elle jetait un coup d'œil aux deux autres types que Miguel tenait en joue, juste au cas où elle devrait se mettre à l'abri...

Alors que la situation semble se calmer par l'incompréhension de votre présence , des coups de feu surgissent depuis l'intérieur de l'établissement, les deux autres se cachent derrière des voitures pour esquiver les balles et l'homme que dylan a plaquer lui dit:

" Putain c'est pas nous les mechants, ils ont nos meufs en otage !!!"

dylan > à toi de jouer en premier : de la ou tu es tu ne voit qu'un mec à l'intérieur qui se releve de temps en temps
ps : envoi mi un texto si tu veux lancer des jet de dés (obsrvation, athletisme , etc) ou si tu as des questions

Malfrat : Putain c'est pas nous les méchants, ils ont nos meufs en otage !!!

Comme pour confirmer ses dires, des tirs proviennent de l'intérieur de l'établissement, tandis que les deux autres se mettent à couvert derrière des voitures. Dylan se baisse un peu plus à couvert et retire son canon de la tête de celui qu'elle tient.

On s'fait pas justice soi-même, ici, Batman. On porte pas des plaques et des flingues pour amuser la galerie. Maintenant, t'es mignonne, tu laisses faire les pros, Princesse.

Dylan repousse le type, sans grande délicatesse, puis se relève à couvert de sa position à califourchon. Elle récupère le flingue du malfrat, et le garde à son holster, pour le moment.

Je garde ça avec moi, t'as pas été assez sage.

Pourquoi lui faire confiance ? Tandis qu'elle observe l'établissement d'où proviennent les coups de feu, [Jet de perception - 3 dés ], afin de déterminer où se trouvent les otages s'il y en a et combien de types armés il y a. Elle porte sa main gauche à sa radio pour parler à Miguel sans avoir à hurler pour lui faire le topo sur la situation.

Blitz, vigilance : présence d'otages, je répète, présence d'otages. Les petites-amies de ces messieurs sont à l'intérieur. Pas de tir à l'intérieur tant qu'on ne sait pas où elles se trouvent. Terminé ! Elle s'adresse ensuite à l'homme à couvert à côté d'elle. Fais-moi un topo. Vous êtes qui, combien d'otages et qui sont les gus à l'intérieur et pourquoi ils ont vos nanas ?

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'D10' : 2, 10, 10

Relance des 10

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'D10' : 9, 1

dylan >

Dylan s’adresse discrètement à Miguel :

Blitz, j’ai un visuel sur trois individus armés, des corps au sol. Je pense deviner où se trouve un des otages. Couvre moi, je vais essayer de me faufiler à l’intérieur...

je lui fait signe de la tête que j'ai compris et me met dans l'angle qui donne accés à la boutique , je ne suis pas en mode prudent ou autre, vraiment aggressif (debout au milieu de la rue )

il faut que je lance 5 dé avec réussite a 3 ou plus !

je lui fait signe de la tête que j'ai compris et me met dans l'angle qui donne accés à la boutique , je ne suis pas en mode prudent ou autre, vraiment aggressif (debout au milieu de la rue )

il faut que je lance 5 dé avec réussite a 3 ou plus !

Le membre 'Blitz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'D10' : 5, 2, 4, 8, 5

Vas-y !




///veux-tu un dessin de la scène pour me dire ce que tu veux faire? ////

Miguel venait de lui donner le feu vert et Dylan s'élança, l'adrénaline coulant à flot dans ses veines. Elle profita des tirs de couverture de son collègue et ami pour s'infiltrer rapidement à l'intérieur du bâtiment et se mit rapidement à couvert, derrière le premier pilier sur la droite. Dos au pilier, son arme chargée, elle en profita pour observer le corps au sol et en faire rapport à Blitz, discrètement, via son émetteur. Elle se faisait discrète, cherchant à trouver les otages encore en vie avant de tirer. Elle ne voulait surtout pas risquer leur sécurité.

Les corps au sol sont ceux de deux jeunes hommes afroaméricains entre 17 et 20 ans , le plus proche de la sortie est dans une flaque de sang et son regard vide de toute vie semble diriger droit vers toi alors que le deuxième, aussi en sang, est tourné de l'autre coté , impossible de dire s'il est mort ou s'il est encore vivant.

Toute les 5 secondes environs, Miguel tir pour te donner une marge de manœuvre , a chaque tir les gars derrière les piliers sorte presque tout de suite après (ils sont cachés sinon ) , celui derrière le comptoir reste debout et gueule des ordres "Attrapez tous un otage ! On se casse !"