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 [DOCUMENT] Info Mephisto + testament Miguel

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Blitz

Blitz


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MessageSujet: [DOCUMENT] Info Mephisto + testament Miguel    [DOCUMENT] Info Mephisto + testament Miguel  EmptyMer 29 Jan - 12:44

DOCUMENT NUMERO 1 : LE RESEAU
Dans ce document, Miguel et Dylan ont recensé le nom de plusieurs de leurs indics qui ont entendu parler de Mephisto et ce qu’ils en savent (ATTENTION : beaucoup d’information ne sont que des « on dit »)

Indic Numéro 1 : Francisco Fernandez
 Apparemment, un nouveau mec est arrivé à L.A. il y a un an. Lorsque quelqu’un lui oppose une certaine résistance, des membres de sa famille disparaissent jusqu’à ce qu’il jure fidélité. Tout acte de trahison entraîne une marque au fer rouge sur le corps (Un « M » )

Indic Numéro 2 : Archibald « Archi » Nekolopolis
 Les docks de la ville sont moins accessible qu’avant (la rumeur dit que les docks se font racheter par le même groupe financier)

Indic Numéro 3 : Brenda Sidoko
 Mephisto est une légende au même titre que le baron samedi (le parrain de la drogue à L.A.). On raconte que lorsqu’on devient trop important, on est obligé de vouer fidélité à un groupe secret qui joue sur la politique, la police, le business etc.

Indic Numéro 4 : Jonatan Garver
 De plus en plus de tag révèle un M rouge dans un rond de la même couleur. On ne sait pas qui les tags mais ils apparaissent.

Indic Numéro 5 : Alice Stewart
 Des armes sont arrivées en quantité énorme en californie et des rumeurs circulent sur le fait qu’elles sont entreposé dans un même lieu en prévoyance « du grand jour »

Indic Numéro 6 : Lorenzo Benicchi
 Il avait des infos sur un certain MEPHISTO mais le temps de venir chez lui, vous l’avez retrouvé pendu à l’escalier de secours.


DOCUMENT NUMERO 2 : Le meurtre de Javier Hortensia
Meurtre de Javier (chef de gang 18th) et dissolution de son clan mais détails intéressants, ils travaillent tous ensemble. Il semble juste qu’ils ont changé d’allégeance.


DOCUMENT NUMERO 3 : LE NOUVEAU PARRAIN DE L’ARMEMENT
De nouvelles armes plus puissantes sont arrivé en Californie mais impossible de les reliés aux anciens gangs ou malfrats. Néanmoins il y a plein de trace d’échéance.
INDICE : Toujours la même procédure avec équipe d’homme cagoulé ornant un M rouge sur le bras.


DOCUMENT NUMERO 4 : LE PHOENIX BICEPHALE
Un nouveau nightclub pour haute société à ouvert récemment, on ne connait ni le proprio ni les investisseurs, on sait juste que la politique de l’établissement est super à cheval sur la vie privé (tous les portables sont récupérés en début de soirée et mit dans des petits coffre d’où nuls onde ne peuvent entrée ou sortir, tout le personnel change de nom de code chaque soir et les membres du clubs sont tous visage masqué et interdiction de donner son vrai nom). Personne ne parle de ce qui se passent dans le nightclub et on ne peut y aller que si on est invité par un membre avec le mot de passe du jour (Un sms est envoyé avec un QRcode spécifique à une date précise et crypté).


DOCUMENT NUMERO 5 : Freddy Margello
Il vole des voitures, un jour il a volé une voiture devant un bâtiment pas loin des docks et son receleur est devenu blanc, ils sont allés remettre la voiture mais freddy s’est fait chopper. Il a désormais un M de graver au fer blanc sur le dessus de la main.


DOCUMENT NUMERO 6 : le garage

Lorsque Miguel et Dylan ont acheté l’ancien garage, ils ont appris qu’un autre acheteur racheté d’ancien bâtiment désinfecté tout autour de la ville et le vendeur pensait qu’eux aussi bossaient pour ce gars-là.


DOCUMENT NUMERO 7 :
Il y a des rumeurs qui disent qu’il y a toujours des coupures de courants lorsque la mort arrive. On parle de diable (lumière grésille, téléphone et technologie bug, puis coupure de courant et quand çà s’allume il y a toujours un mort dans le quartier).



TESTAMENT MIGUEL :


Document attestant de la santé mentale de Miguel, dedans il lègue l’argent qu’il a gagné avec le COPS a sa famille. Il y a aussi une assurance vie de 150 000 dollars qui devrait être débloqué mensuellement sur 10 ans. Sa voiture qu’il a lui-même hérité de Charlie (et l’enveloppe d’instruction qu’il a écrit sur la voiture et sur ce qui l’entoure qui se trouve dans un coffre sous le plancher de là où il dort dans le garage) est légué à Dylan Collins ainsi que l’enveloppe d’argent marquée « Mexique ». Ses armes personnelles sous le plancher du garage reviennent à John O’Neill.
Le testament est suivi d’une série d’enveloppe avec des noms marqué dessus et des adresses postales au cas où la personne qui découvre ses enveloppes ne sache pas où trouver les gens. Il y en a une pour chaque membre de sa famille, pour une dizaine d’amis et de cousins et cousines, une pour la section Alpha du COPS, une pour quelques membres de cette section dont Dylan, John et Sowell. Vous pouvez voir une enveloppe marquée du nom de Fauve avec une instruction « A bruler sans ouvrir ».



Lettre pour DYLAN :

Dylan, si tu lis cette lettre c’est que tu as fouillé dans mes affaires (et dans un tel cas je ne t’en veux pas car je n’ai plus rien à te cacher) ou alors c’est que je suis mort et çà, pour tout te dire, çà fait grave chier même si je m’y suis préparé depuis le jour où j’ai signé pour le COPS. Depuis quelques mois, avec cette histoire avec John et notre escapade au Mexique, la probabilité de mourir n’a jamais été aussi présente, voilà pourquoi je t’écris cette lettre. Au cours de cette dernière année nous nous sommes pas mal rapprochés toi et moi, du moins j’espère que c’est un sentiment partagé, et je dois avouer que j’ai appris a connaître une personne exceptionnelle. Tu joue les dures à cuirs et bien que je sache que tu es capable de supporter bien plus que la plupart de gens de ton âge et encore plus pour quelqu’un de ton sexe (car il faut être honnête, on a beau être en 2032 la vie pour une femme est toujours aussi injuste et dure) mais je sais qu’il y a en toi une bonté qui te pousse à agir pour le bien et la justice qu’importe le prix. Tu es une personne que je suis fier d’appeler une amie et pour tous ces moments vécus ensemble, je ne peux que t’en remercier. Je te connais, si je viens à mourir tu trouveras une façon ou une autre pour te flageller mais sache que toutes mes actions étaient prises en total accord avec la situation présente et la mort était un risque que je prends avec joie. Néanmoins, j’espère que ma mort n’a pas été en vain et qu’elle a permis à faire quelque chose de bien. Toutefois, je te demande de ne pas être triste pour moi , là où je suis, il me plait de croire que je suis aux cotés de celle qui m’a été enlevé bien trop tôt.  Je te lègue la voiture de charlie , tu verras dans la lettre d’instruction qu’il y a max de cachette secrète dans celle-ci ainsi que des options peu conventionnel. Il y a aussi une adresse, c’est le garage qui gère toutes ces petites modifications et qui peuvent te permettre de te fournir en équipement spécial. Bref, ils te mettront au courant. Je t’ai laissé l’argent du Mexique, si on a des dépenses de dernière minutes (avant ma mort) tape dedans, le reste tu le garde ainsi que ce garage (j’ai fait la modification le jour même de notre achat auprès de Mr Vernon Lethear , huissier de justice et avocat en succession,  afin qu’au jour de ma mort le garage devienne ta propriété (j’ai déjà payé les frais de succession et les impôts pour la première année). Je suis désolé d’être partie trop tôt j’espère juste que tu es en bonne santé et en sécurité. Si ma mère n’est pas encore au courant et toi si , peux-tu lui annoncer ? Elle le supportera bien mieux si tu lui annonce plutôt qu’un inconnu. Merci . Portes toi bien et ait une longue vie en étant en bonne santé et en étant un maximum heureuse. Je t’aime mon amie ! Hasta luego !



Lettre pour John :

John… John … John …. J’espère que tu te portes bien, que tu es enfin sorti de prison ET QUE TU T’ES ENFIN EXPLIQUE AVEC DYLAN ! Lorsque j’ai appris que tu avais eu une autre vie et que ton nom n’est pas ton vrai nom je me suis senti totalement normal car je le comprends, chaque personne a sa propre histoire et ses propres raisons pour ne pas parler de son ancienne vie mais tu as déconné sur quelques points et ça commence par Dylan ! C’est ta partenaire et elle était en droit d’apprendre tout çà de ta bouche et non pas par écrit une fois que tu t’es fait arrêter. Ne t’étonne pas si tu te prends ou t’es prit un coup dans les couilles une ou plusieurs fois. Néanmoins, je le sais, tu comptes énormément pour elle alors ne lâche pas le morceau et bats-toi pour elle. Tu es un mec bien, tu as peut-être fait de mauvaises choses dans ton autre vie mais en tant que John O’Neill tu es un homme de bien et de justice. Pour tout cela, Dylan peut être heureuse avec toi mais ce n’est pas une chose acquise, il te faudra le lui prouver et cultiver ce lien qui vous unis. Je crois en vous. Le fait de mourir m’attriste par le fait que je ne vous verrai pas sortir ensemble.  Oui je suis fan de vous deux. Trèves de délire, si tu lis çà c’est que je suis mort , c’est pas cool … Chez nous , à Collins et moi, j’ai laissé mes armes perso de planqué sous le planché de l’étage là où je dors. Tu as entre autres deux pistolets modifiés avec une série de balles spéciales qui m’ont été offert par mon ancien gang pour mon anniversaire de l’an dernier. Portes toi bien et essaye d'utiliser ton cerveau au lieu de tes tripes, çà t'aidera ;)
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Blitz

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MessageSujet: Re: [DOCUMENT] Info Mephisto + testament Miguel    [DOCUMENT] Info Mephisto + testament Miguel  EmptyMar 2 Juin - 22:05

Lettre 'A BRULER SANS LIRE"

.                       D’aussi loin que je me rappelle, on m’a toujours demandé ce que je voulais faire dans la vie et plus particulièrement « quelle est ta vocation ? ». J’ai longtemps hésité avant de donner une réponse claire à cette question. Lorsque j’étais petit j’ai voulu être catcheur, médecin, astronaute, livreur de pizza cosmique, footballeur et même cascadeur. Adolescent, je voulais juste vivre loin des codes de la société avec mon gang et devenir un caïd pété de tune et entouré de femmes chaudes comme dans les clips était mon crédo. Vous savez, nombreux sont ceux qui, un jour, ont le déclic de leur vie en se levant un petit matin ou en regardant un film. Moi, je l’ai eu le jour de mon 14ème anniversaire mais ce déclic avait pris la forme d’une gâchette de 9mm…

.                       Dans cet âge stupide qui caractérise l’adolescence, j’ai été un réel petit con. Mes parents ont tout donné par tenter de me sortir de ce merdier qu’était notre quotidien et comme le parfait petit rebelle que j’étais je leur ai craché ces gestes de dévotions et d’abnégation au visage pour arrêter d’aller à l’école et m’enrôler dans un gang : le 28th. C’est lors de mes douze ans que j’ai été approché par le gang grâce (ou à cause) de mon meilleur ami Rodriguez qui m’a permis de me faire un peu d’argent en surveillant les transactions de drogue au coin des ruelles, bientôt je passais de surveillant à vendeur. J’ai fait des choses durant cette période dont je ne suis pas fier et qui ferait dire à ma mère qu’il aurait mieux fallut qu’elle ne m’ait jamais enfanté. Pour un enfant qui n’avait connu qu’une vie misérable fait de maigre repas et de vêtement du secours populaire, la promesse d’argents en abondance, de reconnaissance, et d’une vie sans règles, cette vie là était ce que je pensais avoir toujours voulu. Jusqu’à mon dernier souffle je me souviendrais du premier homme que j’ai tué. Je n’en ai presque jamais parlé et je souhaite ici alléger mon âme afin d’accueillir la mort le cœur moins lourd qu’il ne l’est actuellement. J’avais treize ans depuis quelques semaines lorsque Julio Felipe Ardolla, l’ancien chef du gang, m’ordonna de me rendre à l’appartement d’un vendeur de crack pour y récupérer l’argent des dernières ventes. Pour la première fois de ma vie, il me confia une arme. Bien entendu j’avais déjà eu des formations au tir avec les membres du groupe mais jamais je n’avais eu le droit d’en avoir un pour moi. J’aurais dû avoir peur, comprendre que les choses devenaient trop sérieuses pour continuer, mais non, je me sentais fort, invincible. Comme si rien ne pouvait m’atteindre, comme si le monde entier s’agenouillerais devant le canon de mon arme. Je me rendis donc à l’adresse indiqué et frappait à la porte. Un vieil homme bedonnant, les cheveux en brosse et les dents pourris jusqu’à la racine m’ouvrit la porte.


- Je savais que t’allais arriver.


.                        Sa voix était rocailleuse et plus de 15 ans plus tard je me rappel du regard qu’il me porta, comme si je n’étais qu’une simple tache sur le pallier de sa porte. Il me fit entrer, son appartement était typique de ceux que je rencontre dans mes enquêtes sur les consommateurs de stupéfiants. Sale, bordélique, sombre et malaisant. Je lui demandais l’argent de Julio mais il me fit attendre sur son canapé délabré et bouffé de mites. Il nous servit un verre à tout les deux et commençant à poser des questions sur moi pour « être sur que je bosse bien pour le gang ». Je n’eus le choix de boire son whisky bas de gamme aux relents d’essence qui me donnait envie de cracher mes entrailles à chaque gorgée. Je savais que quelque chose n’allait pas, l’argent ne venait pas et son regard était trop appuyé sur moi. Je m’énervais rapidement à cette époque (bien entendu, il y a des choses qui ne changent jamais réellement dans la vie) , je lui demandais l’argent en le menaçant, mais rien n’y faisait. Il me prenait de haut. Alors je sortis mon arme et le menaça de plus belle. Mais j’avais sous-estimé l’homme qui se tenait devant moi, bientôt je me retrouvé la tête éclatée sur le rebord de son comptoir de cuisine, mon arme rejetée au loin. Je saignais abondement mais la rage me faisait aboyer de plus en plus fort. Lorsqu’il me dit qu’il allait m’apprendre qui était le dominant, je compris que son regard sur moi n’était pas de la suffisance mais de l’envie. J’avais beau me débattre, il était trop fort pour moi. Son haleine sentait le tabac froid, l’alcool pas chère et une odeur anisée que je ne connaissais pas. Son souffle brulant hante encore ma nuque certaines nuits où dans mes cauchemars je ressens ses mains grasses et puissante se promener sur mon corps. Dès que j’en eut l’occasion je saisis l’objet le plus proche et l’attaqua avec. La fourchette lui traversa la joue, l’obligeant à me relâcher pour attraper l’objet de sa douleur. Je sautai sur un couteau proche et sans la moindre hésitation lui assaini un couteau. Je ne sais encore si c’était la rage, la honte ou la surprise de voir que la lame rentrait si facilement dans sa chaire qui me poussa a recommencer encore et encore jusqu’à ce que la masse graisseuse du truand ne bougea plus et quand bien même je me souviens avoir continuer encore et encore jusqu’à ce que mes larmes ne cesses. Je tremblais comme une feuille et j’en tremble encore mais j’étais victorieux, j’avais abattu la source de ma peur et même si je me sentais sale et honteux je m’étais vengeais. Quelque chose en moi s’était brisé, mon innocence peut être, mais j’ai aimé çà. J’ai aimé avoir ce sentiment d’avoir lutté pour être victorieux. Les mois qui suivirent ne furent qu’une descente aux enfers pour moi. J’ai menacé, tué , dealer, trahis… j’étais enivré par la puissance et je ne pensais plus à mes victimes, ils n’étaient plus que des obstacles à mon ascension.

.                      Puis arriva le jour de mon anniversaire, je me suis levé ce jour-là presser de savoir ce que le gang avait prévu pour moi. Normalement, à nos anniversaires c’était toujours des fêtes du tonnerre et bien qu’il s’agît de mes quatorze ans, j’avais déjà connu le plaisir de la chair, de l’alcool et des substances. Je m’imaginais déjà auprès d’une de ces « pétasses » à me taper une bière pendant qu’elle s’occupait de me distraire contre quelques billets. Je n’avais que çà en tête. Ce matin-là, ma mère m’avait réveillé avec un déjeuné digne d’un roi et mon père avait même décalé l’ouverture de sa boutique d’informatique juste pour être avec moi… J’ai honte du petit merdeux que j’ai été, j’ai honte d’avoir insulté mes parents, d’avoir jeté ce repas au sol et avoir jeter le cadeau de mes parents sans même l’avoir ouvert sous le simple prétexte que « des cassos comme eux ne pouvaient offrir de vrais cadeaux à un mec comme moi ». Ce sont les dernières paroles que mon père entendu de moi et çà restera jamais gravé au fer rouge sur ma conscience. Le soir même je rentrais à la maison, ivre de ma journée passé avec le 28th quand je vis ma mère me demander d’aller chercher mon père à la boutique, il n’était pas rentré et elle s’inquiétait. J’ai demandé 20 dollars à ma mère pour y aller. Quel fils extorque de l’argent à sa mère pour aller chercher son père ? La boutique avait le panneau fermé sur la devanture mais la porte était ouverte. En entrant dans celle-ci je l’ai senti, l’odeur de la mort… dans son bureau en arrière-boutique mon père avait reçu plusieurs balles à bout portant et gisait là sur sa chaise les yeux ouverts me regardant avec horreur. J’ai pris conscience de ce que j’avais perdu à cet instant là mais il était trop tard. La mort que j’avais balayé d’un revers de flingue pour les autres m’avait rattrapé et me narguait sous les traits de l’homme qui m’avait aimé et élevé. Selon la police et les caméras de surveillance, un homme avait tué mon père après avoir essayé de le requêter pour que le gang du coin assure sa « protection » mais mon père avait refusé et on l’avait tué et volé pour ça. Ce jour-là, j’ai compris que je ne voulais plus être de ce côté-là de l’équation, je ne voulais plus être de ceux qui empoisonnent la vie des gens et gangrènent la ville. Ma vocation, je l’ai eue le jour de ma plus grande honte, je devais racheter mon âme souillée en combattant ces criminels que je considérais comme des héros. C’est cette honte qui m’a donné la hargne nécessaire à entrer dans les forces du COPS. Il m’a fallut des années pour ouvrir le cadeau que mon père m’avait offert ce jour-là, ce collier que je porte aujourd’hui pour me rappeler de ma faiblesse. Chaque jour j’essaye d’être un citoyen honnête et consciencieux. Beaucoup m’ont dit que la vie m’appartenait et qu’il ne tenait qu’à moi d’en faire ce que je voulais mais la vérité est simple : la vie ne m’appartient plus depuis le jour de mes quatorze ans, depuis que j’ai vu mon père sans vie criblé de balle. Ma vie ne m’appartient plus, elle appartient à ma famille et à ma ville que je me dois de protéger et de servir et j’espère que le jour où vous lirez ces lignes, ce jour où j’aurais moi-même quittait la vie, j’espère sincèrement que j’aurais réussit à racheter mes fautes et réussit à tous vous protéger du mieux que je pouvais. Même si les dernières actions que je tente dans ma vie frôle l’illégale, j’agis en mon âme et conscience pour combattre le mal et marché dans le droit chemin.

.                    N’allez pas penser que ma vie était toute noire depuis la mort de mon père. Bien sûr elle n’était pas toute blanche mais je peux dire que j’ai quand même été heureux. M’occuper de ma famille m’a comblé de bonheur, entrer au COPS m’a permis de rencontrer des gens formidable et unique. J’ai même eu des collègues qu’il me plait d’appeler amis. N’ayez aucune pitié pour moi car je n’en mérite aucune. Je me considère chanceux et privilégier d’avoir pu être si heureux dans ma quête de rédemption. Il me fallait coucher cela part écrit.
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