Il faisait froid ce matin là. Bien entendu en Russia il faisait toujours plus ou moins froid mais il faut dire que la Mère Russie connaissait un hiver tardif et bien plus glacial que tout ceux connus au vingt et unième siècle. Néanmoins, il n'était pas très judicieux de parler d'une potentielle conséquence du réchauffement climatique, ces absurdités n'avaient pas cours dans le grand pays ! L'hiver tardif était simplement dû à un simple phénomène naturelle fait pour renforcer les sols de la Mère Patrie afin de faire des récoltes digne de ce nom qui seront la fierté de chaque Russe. Ce matin ci, s'il existait une illustration dans le dictionnaire pour le mot glacial, devait sûrement avoir sa photo en dessous de la définition de ce mot. Les puissants moteurs des grosses berlines des agents
ofitsery vmeshatel'stva (
agents d'interventions) avaient dû être réchauffé et préparé une bonne trentaine de minute avant le départ du Kapitan Drobchiev et de l'Agenty Tchekov depuis
Nijni Novgorod à 402 km exactement à l'est-nord-est de
Moskva (Moscou) où Résidait temporairement Anatoli Tchekov. Le moteur du tank qui les suivaient de près n'avait pas eu besoin de tant d'effort, en effet la puissance de la mécanique était telle qu'un seul essai avait mit en trombe l'imposant véhiculé armé.
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Час серьезный, товарищ!*, avait dit le Kapitan à Tchekov.
*Chas ser'yeznyy, tovarishch! = L'heure est grave, camarade !
/// NOTE DE LE PRODUCTION : EN VUE DES COUPS EXORBITANT DES TRADUCTEURS, LES PROCHAINES SEQUENCES SERONT AUTOMATIQUEMENT TRADUITE ///
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Un groupe de quatre terroriste se sont introduit dans l'école communale de la ville de Dzerjinsk et ont prit en otage plusieurs classe d'enfants allant de 7 a 11 ans ainsi que les enseignants. Ce qui nous inquiète le plus c'est le fait que dans la classe "gordost" (Fierté) il y a la fille du chef du conseil Andreï Veikanovitch. Le Kapitan, assis sur la banquette arrière de la grosse voiture en compagnie d'Anatoli, avait accompagné son explication de la situation avec un ensemble de document (photographique, plan de l'école, carte de la région avec la ville de Dzerjinsk en son centre ainsi que Nijni Novgorod puisque celles-ci se trouvaient à moins de 45 minutes l'une de l'autre, etc.). L'homme trappu à la moustache en brosse d'un blond presque blanc sorti un nouveau document montrant un groupe de personne devant ce qui semblait être une vieille usine de la fin du XXe siècle. Le groupe de personne , principalement des hommes, souriaient à la caméra en posant bras dessus bras dessous en signe de fraternité.
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Ces trois hommes là, dit il en montrant de son doigt boudiné les hommes les plus chétifs,
sont les frères Nobriesky et eux deux, ce sont Sierveï Lonidistry et Andrew Filmann les créateurs du journal "Мизинец Путина (C)" (Mizinets Putina = Le petit doigt de Poutine). Leur plaisanterie douteuse dans ce canard immoral est allez trop loin lorsqu'ils ont incité le fière peuple de notre Sainte Patrie à prendre les armes contre le Père de Tous. Nous avons fait ce que nous faisions le mieux ... Maintenir le paix et la prospérité pour le bien du peuple. Mais Les frères Nobriesky n'ont pas supporté le fait que nous ayons envoyé leurs patrons voir des psychologues pour comprendre d'où venait ce dérèglement chez eux et pourquoi ils pouvaient agir dangereusement pour leurs proches. Donc ces idiots se sont alliés avec cette homme là...
Il montra le dernier homme de la photo, un grand homme au teint foncé qui ne semblait pas du tout être issu de l'héritage européen.
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Il s'agit de Sarawi Abdel Zemir, le chef de la production du Mizinets. Il a longtemps servit dans la presse Afghane avant de s'acoquiner avec nos lascars. Leurs revendications sont simple : que nous leur rendions Lonidistry et Andrew Filmann ou que nous déclarions publiquement ce que nous avons fait ...
Il prit le temps de faire une petite pause afin de permettre à l'agenty Tchekov d'assimiler le flot d'information qu'il venait de recevoir. Sur les papiers qu'il avait en main, il avait tout de sorte d'information complémentaire qu'il devait retenir, comme par exemple le fait qu'il était 10h17 et que la prise d'otage à été signalé a 9h02 par le concierge de l'école qui s'était caché dans la chaufferie avec son téléphone portable.
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